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02.07.2020
Reprise des campagnes de pose des pièges pour écrevisses à pieds blancs
Dans le cadre du réseau Natura 2000 et de la présence de l'espèce sur le réseau hydrographique, l'EPTB procède comme depuis 2 ans à la pose de pièges à écrevisses sur tout le bassin pour mieux apprécier sa répartition.
L'écrevisse à pieds blancs (APP), classée VULnérable au titre de l'UICN, présente à l'annexe II de la directive "habitats, faune, flore" et à l'annexe III de la convention de Berne, ce petit crustacé d'eau douce est endémique de cette partie de l'Europe et de nos cours d'eau en Normandie.
Présente sur le site NATURA 2000 FR200363 "vallée de la Bresle", sa répartition est encore partiellement méconnue.
Présente de manière abondante sur l'amont du bassin (amont d'Aumale), elle est pénalisée par les nombreux ouvrages hydrauliques qui jalonnent les cours d'eau et par les indicences produites par les activités humaines (ballastières qui amènent des espèces invasives surtout sur la basse vallée..., arrivée massive d'eau pluviales ruisselant sur les routes et projetées via les réseaux dans les cours d'eau, arrivées massives de limons en provenance des terres agricoles...) sur tout le bassin.
L'EPTB procède maintenant depuis 2 ans à la pose de pièges qui sont relevés régulièrement de façon à voir la présence ou l'absence de l'espèce.
Une meilleure représentation des populations sur le bassin permettra d'en tenir compte de manière plus fine dans les différents projets d'aménagement qui pourraient être mis en place à l'avenir...
Présente sur le site NATURA 2000 FR200363 "vallée de la Bresle", sa répartition est encore partiellement méconnue.
Présente de manière abondante sur l'amont du bassin (amont d'Aumale), elle est pénalisée par les nombreux ouvrages hydrauliques qui jalonnent les cours d'eau et par les indicences produites par les activités humaines (ballastières qui amènent des espèces invasives surtout sur la basse vallée..., arrivée massive d'eau pluviales ruisselant sur les routes et projetées via les réseaux dans les cours d'eau, arrivées massives de limons en provenance des terres agricoles...) sur tout le bassin.
L'EPTB procède maintenant depuis 2 ans à la pose de pièges qui sont relevés régulièrement de façon à voir la présence ou l'absence de l'espèce.
Une meilleure représentation des populations sur le bassin permettra d'en tenir compte de manière plus fine dans les différents projets d'aménagement qui pourraient être mis en place à l'avenir...